Loin de l’économie du marasme que subissent de nombreux secteurs d’activité depuis plusieurs années et qui décourage à se lancer dans l’aventure entrepreneuriale, le modèle de la franchise s’est progressivement imposé comme une opportunité séduisante pour les porteurs de projet, grâce à un système hybride où le franchisé bénéficie à la fois de son indépendance et d’un accompagnement efficace.

 

Avec près de 620 000 emplois et plus de 55 milliards de chiffre d’affaires en France*, la franchise est sans conteste l’un des rares rayons de soleil dans une économie nationale peinant à s’extraire de la morosité ambiante. Au fil des années, l’idée de s’organiser autour d’un concept ou d’une enseigne est en effet devenue une évidence pour beaucoup de néo-entrepreneurs et suscite un enthousiasme grandissant. Pour preuve, sur les 31 % de Français désirant créer leur entreprise, près d’un sur deux privilégie ce modèle économique ! Cadre, chômeur, salarié en reconversion… Il n’existe pas réellement de profil type du futur franchisé mais une volonté commune : prendre son envol en évitant les écueils inhérents à la solitude du chef d’entreprise et s’appuyer dès le début de son aventure sur un socle solide et collectif où les relations humaines font figure de priorité.

 

Les avantages de l’entreprenariat accompagné

Outre les multiples outils de marketing et de communication dédiés mis à disposition, les franchisés bénéficient avant tout d’une formation théorique et de mises en pratique très rapides permettant d’acquérir dans les meilleurs délais son autonomie. Le jeune entrepreneur s’appuie donc sur un concept éprouvé mais qui ne cesse d’évoluer d’année en année afin de répondre aux besoins évolutifs des consommateurs, notamment grâce à la créativité et au regard neuf des nouveaux franchisés. En effet, la franchise s’apparente à une démocratie participative où chacun est libre de s’exprimer en tant qu’entrepreneur, tout en s’appuyant sur la force d’un groupe solidaire, permettant – entres autres – de maintenir un optimisme et un dynamisme plus élevés que dans bon nombre de secteurs d’activité. Par ailleurs, si le coefficient de risque de cette forme d’entreprise est inférieur aux projets de structures plus traditionnelles, c’est aussi grâce à une stratégie de vente multicanale. Point de vente physique, standard téléphonique, site web, application pour smartphone… Le secteur de la franchise a été l’un des premiers à saisir l’enjeu de la transformation digitale de l’économie et à développer des outils en conséquence.

 

Les conditions du succès

Cependant, si ce modèle d’entreprenariat se présente comme un véritable facilitateur de réussite, le candidat ne doit pas pour autant se reposer sur la franchise. Il doit avoir conscience qu’il s’apprête à devenir ambassadeur d’une marque. Le futur franchisé doit donc s’interroger sur sa capacité à intégrer des pratiques et des principes établis, à démarcher de nouveaux clients et – sur le long terme – à constituer puis gérer une équipe de salariés. En outre, le franchisé doit aussi accepter l’idée d’une formation continue dans de nombreux domaines : communication, gestion, comptabilité, management, démarchage… Loin d’être une astreinte prenant les traits d’une aliénation à la marque ou d’un désir de contrôle du franchiseur, il s’agit en réalité d’un effort d’apprentissage régulier avec pour unique objectif d’assurer la pérennité de sa propre entreprise et par extension, celle de la franchise. Dès lors, l’alliance avec un réseau se transforme en un binôme gagnant / gagnant, dont La Minut’Rit et ses Minuteurs sont le parfait exemple !

L’équipe des joyeux Minuteurs lors de la convention annuelle 2017

* Chiffres de la Fédération française de la franchise

 

Merci à R.F. pour cet article élogieux !

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